Chaque seconde dans le monde, 54 cartouches d'encre sont produites et utilisées, soit 1,1 milliards de cartouches par an . Et selon une étude, plus des deux tiers (70%) sont simplement jetés, et pas dans un bac de recyclage pour cartouches d’encre .
C’est dans ce contexte qu’Altkin, leader européen de l'impression alternative, renforce ses gammes de cartouches d’impression remises à neuf pour imprimantes et multifonctions A3 et A4, et pour traceurs et imprimantes grand format. L’entreprise, pionnière de l’économie circulaire, étoffe ainsi son catalogue déjà fort de 1 400 références avec plusieurs dizaines de nouveaux produits. Cela s’inscrit dans la volonté d’Altkin de démocratiser toujours plus les solutions alternatives aux cartouches neuves de marque constructeurs, en s’appuyant sur son expertise dans le processus de la remanufacture.
Économie circulaire au bureau : une offre de cartouches remises à neuf renforcée
Altkin continue d’élargir son catalogue de cartouches d’impression remises à neuf en y intégrant plusieurs dizaines de nouvelles références Kyocera et Epson. Cela en complétant son offre pour usage en entreprise, ainsi qu’à destination des professionnels de l’impression grand format (spécialistes de la reprographie, création de plans architecturaux…). Dans son ensemble, le catalogue présente aujourd’hui des consommables d’impression remis à neuf utilisables sur plus de 95% des marques et des modèles des parcs d’imprimantes installés en Europe. Commercialisées en marque blanche ou sous la marque OWA, les cartouches remises à neuf d’Altkin sont proposées à un prix en moyenne 30 % moins cher que les cartouches d’impression neuves des géants de l’impression, pour un niveau de qualité équivalent.
« Le secteur de l’impression ouvre un champ d’actions faciles et immédiates, qui permettent de réduire ses impacts environnementaux sans nécessiter de lourds investissements. Que ce soient les entreprises privées ou les acteurs publics, en optant pour des cartouches remises à neuf, ces organisations réduisent drastiquement le nombre de leurs déchets et prolongent la durée de vie des produits qu’elles utilisent. C’est aussi, très concrètement, une manière de concilier sobriété numérique et performance économique », déclare Gerwald van der Gijp, Directeur général d’Altkin.
« La remanufacture, processus de rétention de valeur le plus complet » selon l’ADEME
Pilier moins connu de l’économie circulaire que le recyclage et le reconditionnement, la remanufacture est définie par l’ADEME comme un processus rigoureux et standardisé permettant de remettre une pièce ou un produit usagé dans un état de performances et de fonctionnalités équivalent ou même supérieur à celui d'origine et pour un même usage . Elle se distingue ainsi du reconditionnement ou de la simple opération de re-remplissage par le fait d'aboutir à la remise à neuf de composants ou produits usagés avec un grade de qualité et des performances uniformes. « Au sein de l’entreprise Altkin, le processus de remanufacture s’effectue dans le respect des brevets des constructeurs. Essentiellement manuelle, cette activité peut difficilement être automatisée. Elle repose ainsi sur une main d’œuvre qualifiée, génératrice de valeur ajoutée », ajoute Gerwald van der Gijp.
Spécialiste de l’impression alternative, Altkin cultive plus de 30 ans d’expertise industrielle dans la remanufacture de consommables d’impression. Chaque année, l’entreprise remet ainsi à neuf plus de 2 millions de cartouches. Celles-ci se retrouvent ensuite dans les bureaux d’entreprises privées telle Arkea. Ainsi que dans les établissements publics ou les collectivités, qui, comme tout acteur public, depuis la loi AGEC doivent acquérir un seuil minimal de 20% de produits issus du réemploi ou de la réutilisation ou qui comportent des matières recyclées, comme la mairie d’Antony (92) ou le Groupement hospitalier de territoire (GHT) Plaine de France.